Douce tache que d'ouvrir cette porte scellée ....
Moi et mes paradoxes.
Comment accepter que ces yeux clos, voient l'invisible à eux seuls montré ?
Toi et l'histoire de ton néant si plein.
L'insupportable présence de cette tendre absence....
Tous ces kilomètres qui ne sont qu'une distance.
Cette rude tendresse et tous ces mensonges si vrais.
Contenant mon indéfinissable et exprimant ton inconnu.
Cette aveuglante obscurité, qui révèle comme il est horriblement beau,
d'accepter qu'une virtuelle réalité est partie pour rester.
Que demander de plus, à notre raison passionnée,
Que de maintenir ce mal merveilleux, aujourd'hui encore ?